L'édition définitive d'une référence absolue !
Les 1001 expressions préférées des Français s'est déjà vendue à plus de 100 000 exemplaires depuis sa parution en 2012.
Pour la première fois dans un format intégral XXL, le livre qui dit tout sur les origines parfois surprenantes des expressions populaires revient dans une édition définitive.
Georges Planelles est un amoureux fou de la langue française et un enquêteur linguistique des plus pointilleux. Son travail a été largement salué par le public et par la presse. Son humour ajoute une dimension supplémentaire à son ouvrage devenu une référence pour tous les amoureux de la langue française.
À posséder absolument !
D'où viennent les mots que nous employons au quotidien ? Comment se sont-ils construits ? Saviez-vous que « canapé » vient d'un mot grec qui signifie « moustique » ?
Françoise Nore analyse pour vous l'étymologie passionnante de nombreux mots de notre belle langue française.
Bénin, ambigu, sommeil, farfouiller, chômage, galoper, chance, gracieux, kaléidoscope... découvrez l'origine parfois inattendue de tous ces mots, et bien d'autres !
Françoise Nore est docteur en Linguistique et traductrice.
Pourquoi les personnes courageuses ont-elles des couilles, alors que les mauviettes doivent s'en faire pousser une paire ? Pourquoi dit-on d'une femme qu'elle tombe enceinte, mais d'un homme qu'il la met enceinte ? Pourquoi les femmes sont-elles bavardes comme des pies si ce sont les hommes qui mecspliquent ? D'où vient notre tendance à disséquer les femmes en un panier de fruits : des melons ou des prunes à la poitrine, une peau d'orange, la cerise pour l'hymen ? Pourquoi les blagues de blondes font-elles rire ? Depuis combien de siècles les femmes sont-elles hystériques ? Pourquoi l'homme est-il conquérant quand la femme est facile ?
La réponse à ces questions et à bien d'autres se trouve dans ce Dictionnaire critique du sexisme linguistique, recensant des centaines d'expressions sexistes. Un projet qui invite les féministes à passer des actes à la parole !
Suzanne Zaccour et Michaël Lessard vous invitent à la rencontre d'une trentaine de voix féministes québécoises de différents milieux, qui relèvent le pari de faire rire, sourciller, décrier, sourire et grimacer avec des textes aussi riches que colorés.
Avec la collaboration de : Dorothy Alexandre, Dalila Awada, Isabelle Boisclair, Marie-Anne Casselot, Catherine Chabot, Sarah R. Champagne, Élise Desaulniers, Audrey-Maude Falardeau, Catherine Dussault Frenette, Rosalie Genest, Marilyse Hamelin, Naïma Hamrouni, Céline Hequet, Caroline Jacquet, Sarah Labarre, Diane Lamoureux, Louise Langevin, Louise-Laurence Larivière, Widia Larivière, Annick Lefebvre, Judith Lussier, MamZell Tourmente, Catherine Mavrikakis, Emilie Nicolas, Florence Ashley Paré, Julie Podmore, Marie-Michèle Rheault, Sandrine Ricci, Camille Robert, Annelyne Roussel, Marie-Ève Surprenant, Cathy Wong, Suzanne Zaccour
N'en déplaise à Zemmour, les figures de style sont partout ! Elles se cachent dans les livres, bien sûr, mais aussi dans les textes de rap, les films, les sketches, les publicités... Alors pas question de se contenter des classiques ! Comme l'a dit Rimbaud lui-même : "Il faut être absolument moderne !". Vous croiserez donc ici : Booba près La Fontaine, IAM aux côtés de Baudelaire, Hugo collé à TSR, Lucio devant Bukowski ou encore Jean-Rictus face à Vîrus, histoire d'apprendre à reconnaître toutes ces figures dans un style ... "à la fois fois old-school et moderne comme un texto de ta grand-mère"(Fuzati). Pour le prix d'un kebab vous aurez au menu : 60 figures de style expliquées et illustrées avec 120 exemples classiques et rapologiques, 90 rappeurs et 70 auteurs classiques cités, 60 exercices corrigés pour s'entraîner et 100 punchlines de rap en bonus, ça vaut le coup de sauter un repas !
Cet ouvrage posthume, laissé pratiquement achevé par l'auteur, raconte deux mille ans de constitution du patrimoine onomastique français. Élément constitutif primordial de l'identité individuelle, le nom de
personne fait aussi partie de l'histoire et de la géographie de la nation. Notre système onomastique est issu de la lente imbrication de trois systèmes historiques distincts : gaulois, gallo-romain et germain. Le nom de baptême unique en vigueur durant le haut Moyen Âge sera remplacé à partir du XIe siècle par le système de nom double. En 1539, l'ordonnance de Villers-Cotterêts affermit ce système de double nom, ancêtre de nos « prénom et nom de famille ». Les noms vont continuer de s'enrichir jusqu'à la loi du 11 germinal an XI qui fi gera les règles, entraînant mécaniquement, par le jeu statistique, la disparition progressive des noms les plus rares. Depuis lors, le patrimoine onomastique semble condamné à s'étioler. Outre une analyse précise et imagée de l'histoire et de la richesse de notre patrimoine onomastique, cet ouvrage est un appel à sa sauvegarde.
Lla Tunisie est-ce encore l'Europe ou déjà l'Afrique ou l'Orient ? Elle offre en tout cas, l'aspect d'une pays de contrastes crées par l'histoire, le climat et la culture... On y trouve les traces de la puissante Carthage, de l'orgueilleuse Rome, de l'éclatante Byzance, de l'empire Ottoman, des Européens plus récemment, mais surtout des Arabes, venus d'Arabie au VIIe siècle. Ils vont donner à la Tunisie sont caractère définitif de pays arabe et musulman ? Plus, qu'un livre sur la langue, c'est un livre qui nous fait découvrir un pays tout proche de nous,
Les « mots de la Der et d'aujourd'hui » sont des termes qui, nés ou popularisés pendant la Grande Guerre, sont toujours courants un siècle après. D'activisme à zinzin, en passant par avion, bousiller, cafard, défaitisme, moratoire et repérer, l'auteure propose de découvrir ces mots et leur histoire et esquisse un tableau vivant de la Première Guerre mondiale, à l'aide de citations puisées dans la presse ou dans la littérature de 1914-1918, parfois non sans une pointe d'humour.
Par la création de formes, l'humanité se dégage de l'emprise biologique, et chacune de ces images révèle une partie de l'inconscient enfin libéré. Mais, partis du naturel physiologique, les signes graphiques poursuivent ensuite leur propre trajectoire en total autonomie, ils attirent la destinée humaine dans leur aventure, jusqu'à l'écriture puis aux polices informatiques.
Le russe, une langue difficile ? Pas plus que le latin ou l'allemand. Le problème est de savoir comment s'y prendre pour l'assimiler. C'est ce à quoi s'attache cet ouvrage en regroupant les mots à partir de leurs racines, qui, ne l'oublions pas, dérivent de l'indo-européen. Un peu de méthode permet de décomposer ces vocables pour les comprendre " du dedans " et par là plus facilement les mémoriser. On arrivera ainsi à apprivoiser progressivement cette langue puissante, aussi belle qu'utile.
L'île de Sri Lanka a été fréquentée par les Malais/ Indonésiens et leurs ancêtres pendant probablement plus de 2000 ans. En évolution constante, voire rapide, le malais de Sri Lanka se distingue nettement des dialectes malais/indonésiens, et se retrouve maintenant dans un dilemme de langue non écrite menacée de disparition. Un défi que doit affronter le dynamisme du mouvement associatif malais à Sri Lanka.
Le Bruissement des matins clairs révèle les arcanes de la traduction par le prisme de l'expérience d'un de ses praticiens les plus fervents. Confidences personnelles et considérations professionnelles se chevauchent pour offrir une vision élargie d'une profession qui compte parmi les plus nobles mais aussi les plus exigeantes qui soient. Émaillé d'anecdotes plaisantes et d'exemples pertinents, l'ouvrage révèle en toile de fond toute la passion de l'auteur pour son métier.
Cet ouvrage présente 400 expressions idiomatiques amazighes (bougiotes essentiellement) compilées au fil des ans. Elles font l'objet d'une traduction en tifinagh et d'une translittération en caractères berbères latinisés, auxquelles une traduction française poétisée est venue s'ajouter, accompagnant agréablement leur lecture. Le contexte d'usage de chacun des adages est précisé, tant stricto sensu que lato sensu. Dans la mesure du possible, une expression française équivalente, proverbiale ou non, complète une partie non négligeable de ces joyaux de sagesse populaire. La contribution de l'auteure à la transmission des trésors linguistiques de la culture berbère se veut à la fois humble et passionnée, ne prétendant ni à la parfaite exactitude, ni à l'exhaustivité.
Ce livre - enquête, critique ou pamphlet -, qui révèle les failles d'une crise générée par un virus, analyse nos comportements fourvoyés par la peur, inféodés à une autorité qui balbutiait. Une terminologie s'est immiscée dans le jargon politico-médiatique quotidien. Nous nous sommes laissé inscrire dans cette nouvelle temporalité lexicale circonscrite à la maladie, réduite à la seule immédiateté d'infos répétitives génératrices d'apathie, qui nous coupaient de la réalité, empêchant toute pensée critique, nous laissant prêts à respecter toute loi quelle qu'elle soit, dans un légalisme aveugle soumis aux critères présumés de la santé pour tous. On a hypothéqué notre vie, modelé nos comportements, utilisé l'instinct naturellement moutonnier. Nous avons été la preuve inattendue que, selon les principes de Bernays, on peut manipuler les foules : nous avions l'impression que les décisions venaient de nous, comme dans un processus de manipulation qu'on pourrait dire, en extrapolant à peine, de type subliminal.
Permettre la compréhension de la vie de l'esprit aux Comores à partir de la langue vernaculaire, tel est l'objet de ce livre. Le lecteur récoltera des mots qui lui permettront de comprendre les différentes opérations intellectuelles comoriennes, de façon endogène, mais aussi interculturelle, au moyen d'une comparaison constante avec le français. Il s'agit ici, dans la droite ligne de la bibliothèque idéale, de proposer un dictionnaire idéal, en cent mots. Et ainsi partir de la langue de l'archipel des Comores, shikomori ou shimasiwa, pour comprendre les implications de la sphère intellectuelle dans cette zone de l'océan Indien.
Les Calandretas sont des écoles associatives créées à Pau en 1979 et qui enseignent la langue occitane selon des modalités immersives et des méthodes empruntées à C. Freinet et à la Pédagogie Institutionnelle. À partir d'une enquête ethnographique menée dans trois villes de la région Occitanie, l'auteur analyse la portée de cette politique linguistique par en bas sur la situation sociale de la langue-culture occitane dans ces territoires, plus de 40 ans après leur création. Ce terrain de trois ans a conduit l'auteur à rencontrer plus d'une centaine d'acteurs : élèves et anciens élèves, parents, enseignants, acteurs associatifs et politiques liés à la question occitane. À travers différentes données issues d'approches diverses, l'ouvrage décrit comment ces écoles/associations influencent positivement les pratiques et les représentations de la langue-culture occitane mais il met aussi en lumière les facteurs limitant la réussite de ces objectifs. L'auteur invite également à une réflexion plus large sur l'utilisation du terme patrimoine pour catégoriser la langue-culture occitane.
Ce livre est la première étude d'une telle ampleur consacrée au dompierrois ou parler de Dompierre-les-Églises (Haute-Vienne), aujourd'hui menacé de disparition et situé dans la zone linguistique dite du Croissant. L'ouvrage s'adresse tout autant aux linguistes romanistes qu'aux spécialistes de typologie ou de comparatisme. Il pourra intéresser les locuteurs du bas-marchois, mais également les enfants et petits-enfants qui souhaitent découvrir ou redécouvrir leur langue familiale.
L'Université franco-chinoise de Pékin (1920-1950) revêt une importance particulière dans l'histoire des échanges culturels entre la Chine et la France. Cette institution a formé un grand nombre d'hommes de talent et de passeurs de culture entre les deux pays. Des intellectuels chinois de renom présentent au public la littérature française par le filtre d'une conscience bilingue et biculturelle dans les revues que cette université monte à cet effet. Les Revues de l'Université franco-chinoise de Pékin élaborent un planrelief de la littérature française différent de tous les autres. En dehors du rôle pédagogique, elles veulent également promouvoir les idées qu'elles défendent à l'égard de la littérature. Un équilibre s'établit entre les contraires : l'individu et la société, l'émotion et la raison, la contemplation et l'engagement. Les rédacteurs dressent une typologie de la littérature française appuyée sur une
tradition subjective, à savoir l'individualisme, le lyrisme et la mystique. Cette tendance est d'autant plus significative qu'elle émerge dans une Chine moderne où sont réclamés plutôt le bonheur collectif, la conscience de l'histoire, ainsi que la lumière apportée par les connaissances objectives.
À travers un abondant corpus, ce livre montre comment certains écrivains africains ont renouvelé l'écriture dans le roman. L'auteur présente un aperçu synoptique de la langue française et les facteurs à l'origine des créations lexicales. Il analyse la nouvelle écriture et les créations lexicales, ce qui permet de découvrir d'intéressantes tentatives formelles opérées par ces écrivains. Enfin, il porte un regard sur les inventivités lexicales, l'acceptabilité du néologisme, l'intertextualité et la problématique de la littérature africaine.
Si la fidélité au sens constitue un souci incontournable du traducteur, le caractère idiomatique du résultat n'en demeure pas moins pour lui une quête de tous les instants. Ainsi, au-delà de la chasse aux anglicismes - qui domine depuis longtemps au Québec le travail et la formation des traducteurs -, l'auteur considère son travail de traducteur et d'enseignant comme une « chasse aux tours idiomatiques », cette fois non pas comme on fait la chasse aux bisons, mais comme on fait la chasse aux papillons : pour enrichir sa collection.
Dans cet ouvrage à mi-chemin entre le guide de traduction et le dictionnaire des diffi cultés, solidement documenté et enrichi de nombreux exemples tirés de sa pratique, l'auteur attire notre attention sur les pièges méconnus posés par la traduction de certains termes, tels assessment, awareness, discussion ou proposed. Il fait aussi le point sur les accès de « surcorrection », motivés par de vieux fantômes datant souvent des études universitaires. En effet, on voit souvent des traducteurs éviter soigneusement tel mot considéré comme fautif dans les ouvrages normatifs alors que, dans le contexte qu'ils ont sous les yeux, le mot aurait été tout à fait acceptable. Cette attitude est déplorable, parce qu'elle leur enlève des ressources précieuses et peut aussi mener à des faux sens. Se prive-t-on toujours à bon escient de mots ou locutions comme alors que, à travers, communauté, copie ou juridiction?
Cet ouvrage contient plus de 70 articles offrant des pistes inédites pour la traduction de termes courants, tels que commitment, update, draft, include, governance, summary et plusieurs autres, et propose une réflexion originale sur des sujets comme la traduction des slogans et des titres, l'ordre des mots dans la phrase et même la possibilité de « traduire » des majuscules par des guillemets. Il comprend en outre un index bilingue de plus de 1000 entrées.
L'ourdou est la langue officielle du Pakistan, elle cimente les différentes ethnies de ce peuple de 114 millions d'habitants. Elle a aussi le statut de « langue constitutionnelle » de l'Inde, étant utilisée par les 110 millions de musulmans de l'Inde. En outre, l'ourdou et l'hindi ne constituent qu'une seule langue, parfois appelée hindoustani ; seulement l'ourdou emploie les lettres arabes. Ainsi par le nombre de ceux qui le parlent, l'ourdou est la troisième langue du monde.
Étude des vocabulaires, la lexicologie s'intéresse aux mots employés dans les situations réelles des affaires publiques ou privées. C'est donc une « science carrefour » où se rencontrent la langue, les interlocuteurs, les sociétés et leurs histoires respectives. Une telle complexité, qui ne peut être enfermée dans des structures trop formelles, relève de l'usage au sens où l'entendent Peirce et Wittgenstein : « Ne cherchez pas le sens, cherchez l'usage. » « Comment parlons-nous ? » est une interrogation inséparable de la question : « De quoi parlons-nous ? »
Dans ce livre qui lève un pan de voile sur le peuple Bamoun (Cameroun), l'auteur entraîne le lecteur à la découverte de l'univers fascinant de ce qui fut autrefois le royaume Bamoun. Récits des origines, architecture, spiritualité, peinture de la société, évolution dans la modernité, emprunts linguistiques, ce livre est un véritable cocktail d'informations, un florilège diapré qui séduit tout à la fois par l'originalité des sujets développés et la singulière liberté d'esprit avec laquelle les traditions Bamoun ont été présentées. Parlons Bamoun est une autre façon de renouer avec l'Afrique des origines et d'entrer dans la mémoire du monde.